Quel rôle avez-vous eu à l’ACEF de l’Est et pendant combien de temps?

J’ai commencé à l’ACEF comme conseillère en consommation pendant 5 ans et ensuite comme coordonnatrice pendant 10 ans.

Comment décririez-vous votre passage à l’ACEF de l’Est?

J’ai vraiment aimé travailler à l’ACEF, cet emploi était très stimulant et pas du tout routinier.

J’ai commencé à l’ACEF en cogestion pour terminer en gestion participative avec une coordination quand il a fallu reconstruire l’équipe.

J’étais un peu la femme-orchestre, car je touchais à beaucoup de domaines, administration, RH, comptabilité, gestion immeuble, informatique, représentation et j’en oublie…

J’ai traversé quelques tempêtes, mais grâce au soutien du CA et de l’équipe nous nous en sommes bien sorti.e.s.

Je me suis investie dans l’amélioration des conditions de travail notamment, par la négociation d’assurances collectives et l’implantation d’un régime de retraite.

Je me suis efforcée, comme coordonnatrice, que chaque personne à l’ACEF puisse travailler dans ses forces et ait le plus d’autonomie possible tout en respectant les autres membres de l’équipe.

J’ai aussi travaillé à l’amélioration de l’immeuble, car pour moi un environnement de travail se doit d’être accueillant pour les personnes qui y viennent et beau pour les personnes qui y travaillent.

Je me suis investie à tous les niveaux dans mon travail avec beaucoup de respect pour mes collègues. Pour moi, leur bien-être était primordial.

Quel souvenir / anecdote avez-vous en lien avec l’ACEF de l’Est?

Nos joyeux dîners d’équipe où chacune apportait son lunch et où on s’échangeait des recettes.

Avez-vous des souhaits pour le futur de l’ACEF de l’Est?

Que l’ACEF puisse recevoir des subventions adéquates qui lui permettent d’accomplir sa mission sans avoir à réaliser différents projets pour s’en sortir.          

Le milieu communautaire est un milieu riche, humain et essentiel où le travail donne un sens à notre vie. Malheureusement, les gens qui y travaillent sont pour la plupart sous-payés. Je rêve d’un monde où ces gens reçoivent enfin un salaire décent et une reconnaissance pleine et entière.